Sortie au cabaret "La Belle Epoque" à l'initiative de Jean-Bernard et Maïté.

 

 

 

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Nous sommes 8 au rendez-vous de Solange à la gare de l'Est à 8 h30, devant le train P, direction «Château Thierry». Après un trajet d'un peu plus d'1 heure, nous descendons à la gare de la Ferté sous Jouarre.

Notre circuit «Sur les pas des meuliers », commence par la visite de la ville. Nous poursuivons en franchissant la Marne par le pont Charles de Gaulle. Nous la longeons et passons devant les anciens ateliers Gueuvin Bouchon et Cie. A la Ferté sous Jouarre,  la qualité exceptionnelle de la pierre meulière et le savoir faire des meuliers étaient réputés mondialement. Nous descendons quelques marches pour longer le quai. Pour bâtir ce quai pas moins de 500 meules rébutées furent nécessaires. Depuis l'ancien port aux Meules, les meules étaient chargées sur la Marne. Nous continuons notre chemin en passant devant le théâtre municipal construit en pierres meulières en 1892 sur le patis de Condé ». En fin de matinée, nous prenons un bus à la gare pour nous rendre à la grande place de Jouarre.

12 h – Pause déjeuner au restaurant  « Les terrasses de la crypte ». Nous nous régalons d'une « grande tartine » de Coulommiers chaud.

Vers 14 heures nous avons rendez-vous avec notre guide pour la visite des cryptes mérovingiennes St Paul et St Ebrégésile. Elles abritent les tombeaux de la famille fondatrice de l'abbaye Notre Dame de Jouarre. Après cette visite très intéressante, nous nous dirigeons vers la tour romane de l'abbaye. Des sœurs y sont encore présentes.

Après une pause dégustation de glace maison, nous reprenons le bus pour  la gare de la Ferté sous Jouarre, et notre train pour Paris Est.

 

Merci à Solange pour cette belle journée sous le soleil.

 

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Texte et photos de Nelly Feuillard

Sortie au Domaine de Chantilly du 9 Mai 2019

 

Après un rapide trajet en voiture, nous voici arrivés devant ce magnifique domaine.

Notre première visite fut réservée aux grandes écuries dans lesquelles nous avons pu admirer de magnifiques chevaux, poneys et ânes.

Le nouveau musée interactif du cheval nous a guidé à travers l’histoire de l’homme et de sa plus belle conquête.

A 11 h, sous la grande rotonde, deux cavalières nous ont présenté les bases et rudiments du dressage des chevaux avec talent.

Le repas a eu lieu sous les voûtes des cuisines de Vatel, et à la hauteur de la réputation du lieu.

La visite du château et de la célèbre collection de peintures du duc d’Aumale a ravi nos yeux par sa magnificence et richesse.

Cette belle journée s’est terminée par une promenade dans le parc en voiturette.

A bientôt pour une prochaine sortie.

 

Texte et photos de Monique et Jean-Luc Lacassie

 

 

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Rendez-vous avait été fixé par Annie - animatrice de la journée - à Paris place Saint-Michel devant la fontaine. Le soleil illumine la capitale. Partons en direction du Parc floral de Paris en bordure du Bois de Vincennes que nous découvrirons cet aprés-midi.

Pour y parvenir nous nous baladerons le long des quais de l'Ile de la Cité - maison d'Héloïse et Abelard entre autres - de l'Ile Saint-Louis, avant de rejoindre la promenade plantée du Viaduc des Arts (ou Coulée verte René-Dumont). Arrêt au jardin de Reuilly pour pique-niquer.

Nous repartons par la tranchée ferroviaire et ses tunnels jusqu'à la porte Montempoivre et accéder au parc floral par l'esplanade de Vincennes. Très belle déambulation pour qui aime les arbres, plantes, fleurs. Merci Annie pour cette belle journée.

 

 

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Digne fruit de vingt ans de travaux somptueux

Auguste bâtiment temple majestueux,

Dont le dôme superbe, élevé dans la nue

Pare de Paris la magnifique vue,

Et parmi tant d’objets semés de toutes parts

Du voyage surpris prend les premiers regards

Fait briller à jamais, dans ta noble richesse

La splendeur du saint vœu d’une grande princesse

Et porte un témoignage à la postérité

De sa magnificence et de sa piété .

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Ces quelques mots de Molière sont le début d'un poème  de 366 vers - La Gloire du Val-de-Grâce - dédié à Pierre Mignard, peintre qui a décoré la coupole de l'église fondée par Anne d'Autriche mère de Louis XIV. 

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Jean-Bernard l'organisateur de la journée, avait donné rendez-vous à la station Port-Royal du RER B. Il est 11h45, commençons par aller déjeuner, faisons les choses dans l'ordre. Cela se fait à "l'Académie de la bière" située Bd de Port-Royal en face de la maternité. C'est bien repu ! que vers 13h30 nous nous dirigeons vers le site de  Notre-Dame du Val-de-Grâce. Notre guide, Ségolène, nous y accueille. La visite commence par celle du musée des services de santé des armées. Avant de pénétrer dans l'église, des commentaires sont nécessaires retraçant les difficultés qu'a eu Anne d'Autriche pour fonder les lieux. Quel magnifique édifice ! reconnu comme une des plus belles réussites artistiques du siècle de Louis XIII. Nous apprécions les 6 colonnes torses, le maître-autel, l'orgue, les tableaux de Philippe de Champaigne. Il reste à terminer la visite du musée. Dans la cour, en sortant, la statue de D.J. Larrey médecin et chirurgien militaire. Merci Jean-Bernard d'avoir contribué à l'amélioration de nos connaissances. Quel méli-mélo !

Marguerite d'Arbouze, abbesse du Val-de-Grâce (1580-1626)

Un résumé de l église en vidéo

 

 

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Hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce

La fermeture du Val-de-Grâce

 

Rendez-vous était donné à Paris Gare du Nord par Monique et Jean-Luc les Gentils Organisateurs de la journée. Métro Bastille. Nous nous rendons à la caserne des Célestins de la Garde Républicaine au 22, 24 boulevard Henri IV. Nous sommes un peu en avance.  Brrrrr ! Un vent froid parcourt les rues de la capitale. Patientons. Un guide se présente, une "gendarmette" récupère nos cartes d'identité. Après un bref cours d'histoire - un rappel ! pour la plupart d'entre-nous - notre guide nous emmène dans la Salle des Traditions, les écuries, la forge des maréchaux-ferrants, ....

Pour en savoir + sur la Garde Républicaine cliquez ici.

Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine cliquez ici.

 

 

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11h15 nous quittons la caserne. Traversons le boulevard Henri IV, en face le soleil est présent. Une petite balade nous mène au pont Sully, quai d'Anjou et l'hôtel Lambert sur l'île St-Louis, pont Marie, quai des Célestins, village St-Paul, ...... Stop, l'Auberge de Venise, on nous attend, c'est l'heure du déjeuner.

13h45 reprenons la balade rue Saint-Antoine dans le Quartier du Marais. On y remarque la statue de Beaumarchais, le Temple du Marais, l'ancien hôtel de Mayenne actuellement Ecole des Francs-Bourgeois. Tournons à droite rue de Birague et entrons Place des Vosges. Sous les arcades, il est agréable d'admirer les galeries d'art. Le tour de la place terminé, nous pénétrons dans les jardins de l'hôtel de Sully en s'arrêtant devant les façades sculptées. Une nouvelle fois nous sommes rue St-Antoine. Au loin nous devinons la colonne de Juillet 1830 et l'opéra Bastille. C'est à la bouche de métro Bastille que nous terminons cette agréable journée parisienne. Merci Monique et Jean-Luc.

Pour enrichir ses connaissances sur différents lieux de cultes à Paris il fallait être au rendez-vous de Patricia B. en cette fin de septembre. Marches et métros ont facilité le cheminement dans notre capitale. Passage aux Jardins des Plantes pour le pique-nique, une pause aux Arènes de Lutèce ont complété les visites. Merci Patricia, car une journée comme celle-là ne s'improvise pas.

 

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Paris 9e - Grande synagogue  vidéo
Paris 9e - Eglise N-Dame-de-Lorette  vidéo
Paris 18e - Temple hindou  vidéo
Paris 5e - Eglise St-Etienne-du-Mont  vidéo
Paris 5e - Grande Mosquée  vidéo
Paris 7e - Eglise Orthodoxe russe  vidéo

 

Le mois dernier Monique et Jean-Luc ont animé une sortie en Normandie, plus précisément au "Haras-du-Pin" sur la commune du Pin-au-Haras. Merci à tous les deux pour cette belle journée et plus particulièrement à toi Jean-Luc pour tes commentaires avisés.

Pour beaucoup d'entre-nous, les lieux sont une découverte. Les visites - château, la maréchalerie, la sellerie - les commentaires sur l'élevage de chevaux et leur reproduction, Furioso, les activités du haras aujourd'hui, etc .... furent appréciés de tous.

Le déjeuner fut pris au village de Bourg-Saint-Léonard. Un spectacle équestre clôtura la journée.

 

 

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Le jeudi 7 avril, Solange nous a promenés d'abord dans le quartier Montparnasse, en nous donnant des infos historiques et personnelles ( quartier de son enfance ). Après une bonne balade sous le soleil, nous sommes descendus sous terre ( 130 marches ), aux Catacombes ( près de 8 millions des personnes, qui ont vécu, entre le 5ème et le 19ème siècle ) : IMPRESSIONNANT !.... 83 marches hautes et étroites, en tournant, pour retrouver le soleil .... et la crêperie ....

43 personnes au départ de la mairie du Plessis pour Pont-L’évêque avec la visite des caves du Père Magloire. Visite instructive et très bien organisée, commentée avec humour. On apprend que le père Magloire n’a jamais distillé de « calva » mais qu’il était simplement aubergiste "à la bonne bouille " certainement "alcoolique" et que son nom a été racheté.

Le déjeuner avait lieu au Prémanoir, maison familiale des sapeurs-Pompiers de Paris, autour d’un repas « de communion » sur les hauteurs de Trouville. Très beau décor avec vue sur la mer particulièrement calme en ce mois de Septembre. Il est bien dommage de ne pas avoir profité plus longtemps de cette terrasse ensoleillée car nous étions tenus par des horaires très réglementés de notre chauffeur Dominique, bien connu de la RSP maintenant.

La visite de l’après-midi était consacrée à Honfleur, superbe petit port avec son bassin, la lieutenance, le grenier à sel et son église Sainte-Catherine tout en bois dont la nef ressemble à la coque intérieure d’un bateau….Cette visite était animée par notre guide Cindy que nous avions prise dès le départ  et qui nous a tenu éveillé tant à l’aller qu’au retour !!!!

Jean-Bernard

 

 

 

 

On connaît la façade de l’Hôtel de Ville de Paris avec son fronton et son horloge, son architecture de style néo-renaissance.

L’ornementation des façades adopte les caractéristiques issues de la Renaissance Italienne qui avait elle-même absorbé l’influence antique mais transposée par la Renaissance  Française. On retrouve partout colonnes, pilastres, frontons, tympans, niches, statues, cartouches et bas-reliefs.

 On connaît moins l’intérieur, d’une grande richesse décorative. Plus de 230 sculpteurs participèrent aux décors qui s’échelonnèrent de 1879 à 1883.

 Allégories, bustes, cariatides ou angelots témoignent de la parfaite  maîtrise de l’art  académique.

 L’Hôtel de Ville de Paris  remplit une triple fonction, c’est à la fois le Palais Officiel de la Ville de Paris, le siège de l’administration centrale et enfin la maison commune des Parisiens. 

Sur les quelques photos jointes, on peut admirer le  grand escalier des fêtes, les salons Henri Martin , Pierre Puvis de Chavannes, Georges Bertrand ou  le salon des Arcades ,ainsi que le salon des fêtes digne de la Galerie des  Glaces de Versailles.

Ces lieux prestigieux sont souvent enviés pour visites et réceptions officielles, c’est ainsi qu’en Novembre 2014 notre visite avait été annulée et le 19 février les Asiatiques préparaient un gala pour le nouvel an Chinois.

JBD

En 1641, Nicolas Fouquet, alors jeune parlementaire de 26 ans, acquiert le fief de Vaux le Vicomte et son petit château. Vingt ans plus tard, en 1661, il en fait un chef-d’œuvre unique comptant un château et un jardin parmi les plus beaux de France.

Pour la première fois dans l’histoire, ce visionnaire réunit sur un même projet l’architecte Louis Le Vau, le peintre-décorateur Charles Le Brun et le jardinier André Le Nôtre.

Victime d’un complot, Fouquet est arrêté puis condamné à la prison à vie par Louis XIV en 1661.

Vaux le Vicomte est alors mis sous scellés et  le roi saisit la quasi intégralité de ce qu’il contient : tapisseries, mobilier, peintures, livres, tapis… jusqu’aux orangers ! Madame Fouquet mettra 10 ans à récupérer son bien où elle se retirera avec son fils aîné. Après la mort de celui-ci, elle se résout à se séparer du château de Vaux le Vicomte qui est mis en vente en 1705.

 

	Nicolas Fouquet (1615-1680)
Louis Le Vau (1612-1670)	Charles Le Brun (1619-1690)	André Le Nôtre (1613-1700)

 

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	Le château de Vaux-le-Vicomte fut construit de 1653 à 1658

 

Le Maréchal de Villars, un important chef militaire, l’acquiert sans même le visiter et en appréciera le charme pendant de longues années avant qu’il ne soit vendu en 1764 par son fils au Duc de Praslin. Ses descendants le conserveront pendant plus d’un siècle dont 30 ans d’abandon avant de le remettre en vente.

En juillet 1875, alors que le château est vide et que le jardin à la française n’est plus qu’un lointain souvenir, le domaine de Vaux le Vicomte est mis aux enchères publiques. Un amateur averti, Alfred Sommier, l’achète et commence un immense travail de restauration jusqu’à rendre au domaine son aspect d’origine. Ses enfants poursuivront son œuvre après sa mort, et, aujourd’hui, ses descendants directs, Patrice et Cristina de Vogüé, épaulés par leurs enfants Jean-Charles, Alexandre et Ascanio poursuivent l’œuvre commencée 140 ans plus tôt.

 

 

Le château de Vaux-le-Vicomte mérite sa réputation. Merci Solange pour avoir organisé et animé - avec tes commentaires avisés - cette magnifique visite.

 

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